Amazon c’est la fin des librairies, c’est un serpent qui se mord la queue pour les maisons d’édition, c’est une étape supplémentaire dans la déshumanisation du travail…
« Avec ses patrons célébrés par Hollywood, ses écrans lisses et ses couleurs acidulées, l’économie numérique évoque l’immatérialité, l’horizontalité, la créativité. Enquêter sur Amazon révèle une autre facette. Celle d’usines géantes où des humains pilotés par ordinateur s’activent jusqu’à l’épuisement. »
La suite du texte de Jean-Baptiste Malet est à lire dans le Monde diplomatique de novembre 2013.
L’article du Diplo est glaçant !