En lisant l’article à propos du magazine Causette dans Libération, la résonance avec ce qui se passe à Agone est forte, très forte : départs multiples, paroles violentes, boule au ventre, organisation désastreuse, etc. Un fondateur et directeur qui gère tout à l’affect, qui veut tout voir, tout contrôler, et qui affirme à propos des personnes qui partent : des « gens avec qui on ne s’entend plus, avec qui il n’est plus possible de travailler ».
Au moins une différence : aux éditions Agone, il n’y a jamais eu de grève, dommage…